Le choix de la vie ? Parce qu'ils le valent bien !

Mis en ligne le 27 avril 2016

Quand arreterons de nous voiler la face sur la réalité de l’avortement. Personne ne souhaite à personne de connaitre un avortement et pourtant rien n’est fait pour apporter des sollutions afin de prévenir les situations à risque d’avortement dans notre

Depuis 1975, chaque année, 1 enfant sur 4 n’a pas le droit de vivre: près de 250 000 avortements par ans pour 750 000 naissances selon les statistiques officielles (INED), soit 1 000 avortements par jour ouvrable… C’est donc chaque génération de jeunes qui est amputée d’un quart de ses membres… Bien sûr, tout le monde est contre l’avortement sur le plan d principe, d’ailleurs il n’est plus sérieux de contredire l’unanimité scientifique. Or pour la première fois depuis le vote de la loi, des enfants nés après 1975 sont « l’avortement, ça ne sert à rien » ! Ils ne veulent plus subir une loi, acceptée par leurs parents, mais qu’eux n’ont pas choisie. Ils veulent surtout qu’on arrête de décider à leur place. L’avortement les concerne, car c’est eux qui sont en âge d’y être confrontés; c’est aussi eux qui ont souffert dans leur propre famille. Ni politique, ni religion, ni violence, ni commando: ils forment ainsi un courant de solidarité humanitaire, qui entraîne naturellement derrière lui des milliers de jeunes, ultra-motivés, sortis de tous les coins du pays. Leurs caractéristiques, c’est qu’ils e se battent pas avec des idées mais avec leurs tripes, car c’est chaque jour de leur propre vie qu’il s’agit.

On aimerait…

Une société qui écoute vraiment les femmes et les filles, et qui propose toujours à temps de solutions alternatives…qui existent ! Une société qui réfléchisse à ce que peut être l’avenir, quand manque une proportion si importante de sa jeunesse… Une société qui s’interroge sur ce que peut penser cette jeunesse quand elle n’est pas acceptée telle quelle, mais décidée comme on voudrait qu’elle soit: docile, pas dérangeant… Une société qui tende la main aux filles, aux femmes, pour résoudre les cas de détresse plutôt que d’y ajouter la déchirure de l’avortement…

Alors on agit comme ça :

On manifeste près des hôpitaux, dans la rue, devant les lycées, pour dire en chantant, en dansant, en mimant, que la vie, même cabossée, vau le coup d’être vécue ! On s’entraide par un vrai réseau de solidarité humaine plutôt que financière (on n’a pas un rond): parce que, quand on est paumé et seul, ce n’est pas de tune qu’on a besoin, mais d’amis ! On rencontre d’autres jeunes dans les cafés, les boîtes, les facs et les bahuts pour parler avec eux et réfléchir à l’avenir d’une société où on serait 100% survivants ! Et on fait la fête dans des raves de furie, parce que la vie, on en sait le prix…et on veut en profiter à fond !

Les Survivants. Nous allons faire aimer l’année 2000 !

Qu'en penses-tu ?