Le temps des présidentielles est un moment privilégié pour aborder les grandes questions d’avenir.

Si le débat a été pollué par des affaires de corruptions en tout genre, force est de constater que l’IVG est l’un des rares sujets qui a refait surface dans les propos des candidats.

Au lendemain de la Primaire de la droite, dont François Fillon sort vainqueur, avec la proposition de vote début décembre d'un amendement sur le “délit d’entrave numérique à l’IVG” par Laurence Rossignol, ministre de la santé et des femmes : l'avortement revient de façon étonnante sur la scène publique et politique, dont il s'était éclipsé depuis 40 ans...